L'image d'un quartier, d'une ville est parfois remise en cause, lorsqu'au fil des pas, le flâneur tout à l'étonnement d'un jardin qu'il découvre, aperçoit une oasis - oui, une oasis - constituée d'une ancienne maison de ville, accompagnée par deux marronniers, dont la vigueur peut nous surprendre aujourd'hui. Oasis ou jardin oublié, tous les ingrédients sont là pour rêver un peu de la campagne disparue.
Nous sommes au 105 de l'avenue d'Orléans -pardon, du Général Leclerc-. Autrefois, sans doute, il y avait là un grand jardin qui accompagnait cette maison. Mais nécessité faisant loi, les immeubles ont grignoté le jardin réduit…